• Mes livres du mois d’octobre

    photo Pierre Ahnne

     

     

    Mes livres du mois d’octobreLe Polonais, J. M. Coetzee, traduit de l’anglais par Sabine Porte (Seuil)

    Le vieux pianiste polonais est amoureux de Beatriz. Elle se demande pourquoi, on se demande ce qu’elle se demande… Les mystères en miroirs de l’âge et du désir, racontés par le grand auteur sud-africain comme une histoire lisse et toute simple.

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    Mes livres du mois d’octobreL’Agrafe, Maryline Desbiolles (Sabine Wespieser)

    Emma courait dans les collines jusqu’à ce que le chien du père Goiran lui broie la jambe. Pourquoi ?... L’écriture de Maryline Desbiolles, emportée par un mouvement irrésistible, plonge dans les secrets d’un village provençal.

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    Mes livres du mois d’octobreTarentule, Eduardo Halfon, traduit de l’espagnol par David Fauquemberg (Table Ronde / Quai Voltaire)

    Autour d’un épisode traumatisant vécu au cœur de la jungle pendant son enfance, l’auteur guatémaltèque dessine en virtuose les méandres d’une mémoire placée sous le double signe de la Shoah et de la guerre civile.

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    Mes livres du mois d’octobreLes Âmes féroces, Marie Vingtras (L’Olivier)

    Dans ce roman américain, l’écrivaine française fouille les secrets d’une petite ville et brosse les portraits de certains de ses habitants. Jeune fille assassinée, policière en crise, professeur de lycée au passé trouble… Voix solitaires qui se croisent sous l’ombre de Faulkner.

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    Mes livres du mois d’octobre« Vous êtes l’amour malheureux du Führer », Jean-Noël Orengo (Grasset)

    C’est à Albert Speer, l’architecte et ministre d’Hitler, qu’est adressée la phrase du titre. Jean-Noël Orengo raconte ses rapports avec le dictateur, son emprisonnement après la guerre, son étonnante renaissance en écrivain star. Une fascinante réflexion sur la fascination, et sur son rôle dans les sociétés totalitaires ou dans les nôtres.

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    Mes livres du mois d’octobreDépendance, Tove Ditlevsen, traduit du danois par Christine Berlioz et Laila Fink Thullesen (Globe)

    Dans ce troisième tome de son autobiographique Trilogie de Copenhague, la grande écrivaine danoise disparue en 1976 évoquait ses maris, ses premiers livres, l’enfer de la drogue. Avec toujours la même éblouissante simplicité, la même énergie, la même passion de soi et de sa liberté.

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    Mes livres du mois d’octobreSur les hauteurs du mont Thoreau, Catherine Mavrikakis (Héliotrope)

    Dans la clinique de « Thoreau Heights », on rend la mort belle et presque indolore… L’auteure canadienne, tout en dénonçant la marchandisation et l’édulcoration du trépas, construit une belle et profonde réflexion sur le rapport de chacun à sa propre disparition.

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    Mes livres du mois d’octobreNe le dis pas à ton frère, Meir Shalev, traduit de l’hébreu par Sylvie Cohen (Gallimard)

    Itamar est très beau mais très myope. Peut-on se fier au récit qu’il fait de l’étrange aventure vécue le temps d’une nuit avec la belle Sharon ?... Le romancier israélien Meir Shalev parle des hommes, des femmes, des pères, des mères… et construit sans en avoir l’air un vertigineux piège narratif.

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