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Se rappeler Vialatte
Au mois de mai prochain, il y aura cinquante ans qu’Alexandre Vialatte quittait ce monde. C’est donc, peut-être, l’année rêvée pour lire ou pour relire les œuvres de l’Auvergnat, né en 1901, qui traduisit et fit connaître Kafka en France avant de s’illustrer lui-même par des romans et par d’innombrables chroniques, au ton unique et à l’écriture singulière.
Pour plus de détails, on peut commencer par parcourir les articles que je lui ai consacrés, au fil des années, sur ce blog :
- Vialatte et les Fruits du Congo, en 2012
- Étrangers de Paris, Alexandre Vialatte (Le Bateau ivre) en 2017
- La Paix des jardins, Alexandre Vialatte, (Le Dilettante), en 2019.
Voir aussi mon article sur son mentor, Henri Pourrat, et sur la lecture qu’il en fit :
Tags : Alexandre Vialatte, Henri Pourrat, anniversaire
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Commentaires
Tu fais bien de rappeler à notre mémoire l'existence de cet auteur, que je n'ai jamais lu... Quand même, " une drôle d'odeur, amère et froide, comme métallique ", expression que tu cites dans ta critique de 2012 : quelle description olfactive formidable ! C'est exactement ça, l'odeur si ambiguë des géraniums, dont je ne sais si je l'aime ou pas... Merci, Pierre.
Il faut absolument lire Vialatte. Les chroniques sont très célébrées, souvent les gens n'ont lu que cela. Mais les grands textes restent "Les Fruits du Congo" et "Battling le ténébreux".