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Mes livres du mois de mars
Une danse, Fradl Shtok, traduit du yiddish par Batia Baum et son atelier de traduction (Maison de la culture yiddish / Bibliothèque Medem)
Six nouvelles au rythme endiablé, pleines d’exubérance et de mélancolie, pour dire l’opposition entre tradition et désir d’ailleurs dans le monde disparu du shtetl.
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Les Petits Personnages, Marie Sizun (Arléa)
Marie Sizun donne une vie et un destin aux personnages secondaires de trente et un tableaux. Entre image et écriture, des histoires naissent, où l’on retrouve la musique de l’auteure et sa tendresse pour les humbles.
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Ce n’est pas un fleuve, Selva Almada, traduit de l’espagnol par Laura Acoba (Métailié)
Quelque part en Argentine… Une histoire de pêche, de forêt, d’amitié entre hommes. Et la respiration mystérieuse du monde.
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Raconter la nuit, François Emmanuel (Seuil)
Deux sœurs, leur père peintre, une maison en Bretagne, un narrateur fasciné. Un roman du regard, à la recherche de « ce qui est derrière ce qui se voit ».
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Les méduses n’ont pas d’oreilles, Adèle Rosenfeld (Grasset)
Louise est malentendante, voire sourde. Ça ne la rend pas très aimable, mais lui ouvre une vision étrangement poétique du langage et des choses.
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Quand j’étais petit, j’étais catholique, Pierre Kretz (La Nuée Bleue)
Un village d’Alsace dans les années 1950. Le « petit catholique » y connaît bien des perplexités devant le monde des adultes et les mystères de la religion. Drôle et grave.
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Vivre à ta lumière, Abdellah Taïa (Seuil)
Trois moments dans la vie de Malika, entre 1954 et 1999. Par la force des voix et du style, Abdellah Taïa dit la passion d’exister malgré tout dans une société cadenassée.
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Tags : mars 2022, Shtok, Sizun, Almada, Emmanuel, Rosenfeld, Kretz, Taïa
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