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Mes livres du mois de mai
Quand j’étais jeune, Norbert Gstrein, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay (Grasset)
Entre Tyrol et Wyoming, une fausse enquête policière et une vertigineuse quête de soi.
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De notre monde emporté, Christian Astolfi (Le Bruit du monde)
À travers l’histoire de François, dit Narval, celle des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer, et le crépuscule d’un certain rapport à la lutte des classes.
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Poursuivre, Alain Veinstein (Seuil)
L’auteur-narrateur bien connu fait appel, pour retaper son appartement, au peintre Joerg Ortner. Et s’engage avec lui dans une quête interminable de l’absolu. Kafkaïen.
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La Fille de la piscine, Léa Tourret (Gallimard)
Ce premier roman virtuose est une plongée en apnée dans l’adolescence d’aujourd’hui — ses codes, sa crudité, sa fragilité, son langage…
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Fils de prolétaire, Philippe Herbet (Arléa)
Le photographe belge raconte son enfance et son adolescence, en instantanés secs et subtils qui laissent durer le présent des choses.
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… et aussi :
Les Moments littéraires, hors-série Jocelyne François
Le troisième tome (2008-2018) du journal de la romancière, où il est question de la vieillesse, de la mort, de « la gravité solaire de l’amour ».
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Le Robinson suisse, Johann David Wyss, traduit de l’allemand par Isabelle de Montolieu (Mercure de France)
Réédition d’un classique de l’aventure, paru en 1812. Exotisme, fraîcheur juvénile et second degré.
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Tags : mai 2022, Astolfi, Veinstein, Tourret, Herbet, François, Wyss, Gstrein, Le Lay
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